Entre cave et grenier

Le mot de la page est cagibi, pièce sans fenêtre où l’ on met à dormir tout ce dont on
n’ a pas besoin mais qu’ on pourrait
réveiller un jour, peut-être.

(Copyright)

34 réflexions sur “Entre cave et grenier

  1. salutations a vous …..en ce beau jour …
    une belle journée s’annonce avec un petit 34° a l’ombre de mon olivier , la température n’est pas le seul facteur de ma petite bonne humeur ce matin , je me sent légèrement mieux , je trottine sans tituber ni canne a tête rousse, surtout que ma canne faite maison par un camarade ébéniste a en son embout un etrigidae cela lui donne une allure chouette , mes dames , c en’est pas pour demain que vous allez voir déambulant dans les couloirs , le vieux klaus confortablement installer dans une poussette trottine de chez Cdiscount, elle est bien ranger au fond dans son emballage de transport dans le cagibi de l’entrée de ma chambrée , surtout qu’il faut avoir les avant bras balèze de chéri-bibi pour ouvrir ce cagibi , un vrai travail de forçat croyez moi , il faudrait raboter le bas de porte du cagibi sans mansarde qui lui donnerais un brin de lumière , il va faire chaud. selon les dires de misse météo , nous savons que toutes personnes âgées doivent se protéger des fortes chaleur , ainsi que les enfants aussi, c’est un conseils de pédiatre, pour le klaus plus un psychiatre qui devrait lui psychothérapeuté le cerveau , pour le klaus ce n’est plus une ébauche il faut y aller a gros coup de rabot car il fafiot , dans un château , il y a beaucoup de petit et grand cagibi, sous chaque escalier , certain serve pour mettre les bottes en caoutchouc, d’autre plus petit pour des affaire petites qu’on se sert que très peu , les plus vaste , on garde nos cartons et autres , dans nos cagibis pas de fantôme , et aucun porte ouverte , une vision sans fin , en clair qu’on voit pas le bout , certain de nos cagibis , la porte est caché bien dissimuler , il faut savoir que a cette endroit il y a une ouverture qui donne a un cagibi étroit et profond , qui fait peur aux enfants …GO!GO!

  2. Bonjour la compagnie! Klaus et Monique, cela va-t-il mieux?
    Alors Dominique, vous nous enfermez dans le cagibi! Ces illustrations sont très rigolotes.
    Je me rappelle le cagibi dans un appartement d’autrefois, mais peut-être que son nom était « usurpé » puisque il y avait une porte vitrée qui donnait sur une buanderie.
    Dans « Les Allumettes suédoises », Olivier cherche à s’isoler:  » il connaissait un cagibi qu’il avait choisi pour refuge. Il pouvait s’y tapir indéfiniment parmi les balais-brosses, les têtes de loup et les chiffons. .. »

  3. Klaus, prudence par cette chaleur provençale: mieux vaut rester dans la cavacombe que dans le cagibi.
    De Fernando Pessoa:  » Dactylographie »:
    Seul ici, dans mon cagibi d’ingénieur, je trace le plan,
    Je signe le projet, isolé, loin de tout,
    Même de celui que je suis.

    A côté, accompagnement banal et sinistre,
    Le tac-tac des machines à écrire.
    Quelles nausée, la vie !
    Quelle abjection, cette régularité !
    Quel sommeil, cette manière d’être !

    Autrefois, quand j’étais un autre, il y avait des châteaux, des cavaliers,
    (Les images d’un livre d’enfant, peut-être)
    Autrefois, quand j’étais vraiment mon rêve
    Il y avait les grands paysages du Nord, explicites de neige,
    Il y avait les grandes palmeraies du Sud, opulentes de verts.

    Autrefois.

    A côté, accompagnement banal et sinistre,
    Le tac-tac des machines à écrire.

    Nous avons tous deux vies :
    La vraie, celle que nous rêvons dans l’enfance,
    Que nous continuons de rêver, adultes, sur fond de brouillard ;
    La fausse, celle que nous partageons avec les autres,
    La vie pratique, la vie utile,
    Celle où l’on finit dans un cercueil.

    Dans l’autre, il n’y a pas de cercueils, pas de morts,
    Il n’y a que des images pour les enfants :
    De grands livres coloriés à regarder, pas à lire ;
    De grandes pages en couleurs pour se souvenir plus tard.

    Dans l’autre, nous sommes nous ;
    Dans l’autre, nous vivons ;
    Dans celle-ci nous mourons, on appelle ça vivre ;
    En ce moment, par écoeurement, je vis dans l’autre…

    Mais à côté, accompagnement banal et sinistre,
    Le tac-tac crépitant des machines à écrire s’élève.

    19.12.1933; Traduction du portugais par Rémy Hourcade et Emmanuel Hocquard
    Editions Royaumont, 1988.

  4. Bonjour ensoleillé au maximum , chouette . C´est plutôt pluie et vent après le 15août en Suède.
    L´étymologie de « cagibi » ( Mareria , bonjour , je suis bonne élève et pense « étymologie » maintenant en abordant les mots inédits ), est « méchante cabane » en patois tourangeau ,
    du mot cabigit , cabagit, cabagitis .
    Dans l´ancienne maison de mes grands-parents, une maison assez grande , il y avait deux cagibis , dans l´exacte définition du mot cagibi . Un premier pour les ustensiles de nettoyage , tout en longueur , et je pourrais reconnaitre l´odeur entre mille , un mélange de térébenthine et de cirage . Pas du tout celle des produits d´entretien actuels , senteurs citron ou pin des Landes. Elle était naturelle et agréable.
    Et le second cagibi était dans la chambre de ma tante préférée , douce et indulgente pour toutes les bêtises : ) On accédait au cagibi par un petit escalier sympathique , et là-haut …., des étagères remplies de livres . Une vraie caverne d´Ali Baba ! Ils étaient illisibles pour moi , mais je trouvais le lieu extraordinaire . Ce n´eût pas été une punition d´y être enfermée : ))
    Le cagibi de balais et plumeaux de ma mère est une horloge bretonne . Très esthétique , mais assommant quand il faut plonger sa main pour récupérer un chiffon ( les araignées !… )
    Elle ne veut pas changer ses habitudes , entends-je à chaque fois . Sourire .

  5. Bonjour les compagnie et c’est sous le soleil et le ciel bleu que je file aux courses en trottinant, je suis très contente de savoir que papy va mieux, une bonne nouvelle dès le matin et puis je dirai simplement à Dominique, j’adore cette page et ses illustrations, mais alors j’adore… le grenier de grand mère où les affaires de pépé étaient souvent remisées, souvenirs de guerre qu’on aimait bien fouillés, les vieilles poupées en carton qui n’avaient plus de nez, les petits lits qui avaient bercé on ne sait quel bébé d’antan, les vieux meubles cassés, et la grande malle qu’on n’osait pas soulever au risque de faire sortir un esprit espiègle…et les vieilles robes, les bottines, le col de renard argenté mité, ah, les merveilles ! le cagibi, d’aujourd’hui c’est juste le placard à balai, Océdar et plumeau, les chiffons à meubles les brosses à reluire qu’il faut garder pour le patron … hum… à plus tard !

  6. Bonjour les amis, parfois sous l’ escalier, on aménage un cagibi pour récupérer tout l’ espace disponible et c’ est là, dans Agatha Christie, que l’ on retrouve le corps étranglé de la petite bonne indiscrète.
    Et dans Harry Potter, c’ est là que sa méchante tante lui aménage sa « chambre ».
    Mais dans la vie, balai, plumeau, et tout cela…

  7. mes dames , j’y va piano piano en langage paysan pour que mon corps ne finisse pas en fin de journée en queue de billard, vous m’imaginez par manque de place dans un cagibi a moitié cacher entre la cave et le grenier , en trois-quarts en deux parties sans lumière pour avoir de la fraîcheur , comme j’en connais sur tout et de tout , par chance finir en plusieurs parties dans ce cagibi en queue de billard frêne veinée , surtout que pour se reposer on est mieux sur un lit en entier allonger quand plusieurs parties dans un fond de cagibi , un touriste me demande , moi qui tranquille sirote ma bière sans rien demandais , vous avez de l’eau non loin vue sur le plan , je lui répond , si c’est pour admirer le cygne sur son ilot cela est bien , si c’est pour boire l’eau de l’étang en période de sécheresse qui ferait baisser le niveau de l’eau , alors que nous avons au foyer comme vous pouvez voir en visu de la bière bon marché , ici au château , tous les anciens légionnaires que vous allez croisé ou questionner sont tous des fervents de l’écologie et du bio système , nous contrôlons au mieux chaque jour , le jusant du flot , qui nous sert a distinguer le montant et l’oscillation verticale du niveau de l’eau, et nous contrôlons toutes les trente secondes le courant du flot jusant dans les oscillations horizontales des particules d’eau, je comprend pas , il a pas aimé mon histoire d’O , il est partis sans rien me dire en hochant la tête, pourtant j’ai était simpliste et clair sur sa question , a mon avis il pige queue dalle au principe interagissant du jusant des flots , aller hop! le touriste , le bonnet d’ âne et file au cagibi …….GO!GO!

  8. Klaus , avez-vous pris un air sérieux ou un sourire de coin , pour le mener ainsi en bateau ?: ))
    J´ai cru , au début de l´histoire , que vous alliez lui montrer d´un signe de tête , le puits et le seau de Juju . Un touriste est un tous-risques . Ils doivent s´attendre à tout , et l´imprévu est
    un gage de vacances réussies . L´humour légionnaire en fait partie .
    J´ai pensé à vous en regardant le film hier « Nous étions des soldats » , pas drôle du tout .
    Avec le singe Kiki accroché parfois à votre jambe . J´étais contente quand cela s´est terminé .
    Je ne crois pas qu´on mette encore les enfants pas sages dans les caves ou les cagibis , sauf chez les parents indignes mais c´est un autre sujet …
    En tous cas,j´ai bien connu la cave, l´entrée seulement, pas en bas dans les pommes-de-terre et le charbon . Je n´osais pas bouger , cela durait un petit quart d´heure ( une éternité…) ,
    de peur de réveiller une souris et attraper les araignées dans mes cheveux !
    La punition rendait sage le reste de la journée seulement . On oublie vite quand on est jeunette.
    Le pain sec et l´eau , Dominique , je n´ai jamais connu : )
    Il servait pour faire le pain perdu du goûter ! délicieux ….

  9. Darie , je ne vais pas me positionner une étiquette de format A 4 au milieu de mon front , ou j’aurais écrit en plusieurs langues , ne pas déranger ancien en plein coup de fatigue , je suis assis dans un coin du foyer pour être tranquille, en plus Darie toutes les précautions avait été prises sur cette position , rien fait au hasard , je chipote pas avec le sirotage d’une bière , il faut faire pratiquement toute la traversé , contourner le gros aquarium a eau douce , le billard et le flipper, au faite j’ai jamais vraiment compris la signification du mot flipper ( qui veut dire ) trembler de peur , la boule a donc peur des leviers électrique qui frappe la boule ou tomber dans le trou et finir dans le cagibi du flipper , voila pourquoi j’ai effectuer une réponse indélicate a cet homme , en premier on ne dit pas ( vous avez de l’eau non loin vu le plan ) je connais ce plan , c’est le même depuis au moins quinze ans , il aurait du me dire en bon français qu’il était , en premier bonjour monsieur , par politesse , je suis pas un guide robotique , je dis pas qu’on doit me graisser la patte avec des merci monsieur , mais quand même, j’ai pas l’air d’un idiot qui monte la garde a regarder sa bière mousser dans son verre , en second , vous avez une étang , on peut si rendre a pied monsieur , de l’eau non loin , il y en a dans l’aquarium et a chaque robinet intérieur et extérieur et au fond du puits , ce n’est pas la raison que je suis vieux et l’air fatiguer qu’on doit en profiter , mon cerveau il tourne a fond , jamais il se fatigue , et je suis pas atteint de la maudite maladie d’alzheimer qui se caractérise par la pertes des neurones et des cellules du cerveau., grises pour moi , j’ai était jeune fort comme hercule , le mot légionnaire ne veut pas dire blaireau, voila pourquoi j’ai agit ainsi, sinon Darie je sais me tenir a table , je garde mes mains sur la nappe et je me cure pas les eux narines de mon nez , et je m’essuie pas sur ma serviette , bon je vais boire un jus d’orange pressé , pour la vitamine et son goût .avec une petite quiche au lardons ..cet après-midi je me repose dans ma chambrée pour ne pas être dérangé….bises a vous ….GO!GO!

    • Vous avez eu raison de le remettre à sa place , ce mal appris . Mais vu qu´il hochait la tête , ce n´est pas sûr qu´il ait compris la leçon . Vous auriez pu vous lever de toute votre hauteur , et le regarder en bas , ce minus minable . L´éducation se perd aussi .
      J´ai failli me fâcher à la banque hier .L´employée me dit « Je ne travaille pas dans une banque française  » . Je lui ai répondue du tac-au-tac « Moi non plus » . Elle m´a regardée bizarrement …
      Sûrement comme votre touriste malotru .
      Mal appris , je comprends l´étymologie , mais malotru , je ne vois pas …
      C´est un monde de parler aux client(e)s d´une façon aussi sèche, et stupide aussi !
      Bonne journée sous l´olivier argenté ; c´est très beau ,un olivier , même s´il ne donne pas beaucoup d´ombre . Les rayons traversent les petites feuilles minuscules .
      Quel âge a l´olivier , si ce n´est pas indiscret de lui demander son âge ? : ))

  10. J´ai trouvé un extrait court et drôle , de Puni-Cagibi , avec le petit garçon qui apprend à être sage … Pas facile quand on est petit …
    « Le cagibi était une pièce sombre entre la chambre et la salle-à-manger. Quel bric-à-brac là-dedans! Une roue de vélo, une cage à oiseau, un vieux canon et toutes les affaires de l´oncle Raymond… On trouvait même dans le cagibi, le petit Simon chaque fois qu´il faisait une bêtise plus grosse que lui.  » On le trouvait par hasard , sans doute en train de jouer avec le fourbi amoncelé . J´espère qu´il jouait , sinon ce serait triste !
    Je ne connaissais pas ces livres , les illustrations sont mignonnes .

  11. Tous à l’école avec Jeanne était au pain sec et le grand père Victor ::
    « Jeanne était au pain sec…

    Jeanne était au pain sec dans le cabinet noir,
    Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir,
    J’allai voir la proscrite en pleine forfaiture,
    Et lui glissai dans l’ombre un pot de confiture
    Contraire aux lois. Tous ceux sur qui, dans ma cité,
    Repose le salut de la société,
    S’indignèrent, et Jeanne a dit d’une voix douce :
    – Je ne toucherai plus mon nez avec mon pouce ;
    Je ne me ferai plus griffer par le minet.
    Mais on s’est récrié : – Cette enfant vous connaît ;
    Elle sait à quel point vous êtes faible et lâche.
    Elle vous voit toujours rire quand on se fâche.
    Pas de gouvernement possible. À chaque instant
    L’ordre est troublé par vous ; le pouvoir se détend ;
    Plus de règle. L’enfant n’a plus rien qui l’arrête.
    Vous démolissez tout. – Et j’ai baissé la tête,
    Et j’ai dit : – Je n’ai rien à répondre à cela,
    J’ai tort. Oui, c’est avec ces indulgences-là
    Qu’on a toujours conduit les peuples à leur perte.
    Qu’on me mette au pain sec. – Vous le méritez, certes,
    On vous y mettra. – Jeanne alors, dans son coin noir,
    M’a dit tout bas, levant ses yeux si beaux à voir,
    Pleins de l’autorité des douces créatures :
    – Eh bien, moi, je t’irai porter des confitures. »

    QUAND J’ETAIS CAGIBI d’Hélène Gaudy petit livre pédagogique,

    « Une petite histoire tout en douceur sur les émotions et la famille.
    Amy est en colère. Chez elle, personne ne l’écoute, ni sa maman, ni son papa, ni sa grande sœur Rosa. Elle décide alors de s’enfermer à clé dans le cagibi pour qu’enfin on s’intéresse à elle et qu’on vienne la chercher, mais personne ne vient. Alors, après avoir bien pleuré, elle décide de devenir Cagibi. C’est dans ce lieu, dont elle va faire son refuge, qu’Amy rêve, écoute, regarde sans voir et redécouvre ceux qui sont de l’autre côté de la porte »

    Je repars sous le vent et la chaleur !

  12. A l’heure du thé personne dans le cagibi ? et dans le gourbi y-a-t-il âme qui vive ? j’ai laissé mes sabots en bas de l’appentis, j’ai une lucarne dans la mansarde, il me reste la souillarde !! ah ! misère, que de pauvreté !!!! tout ce que je trouve avec ce pauvre mot, c’est comment construire un abri de jardin, on n’est pas loin des cailloux ! un petit tour dans mon réduit où je laisse mes chaussons juste pour vous dire qu’il faut changer ce mot vite fait, on n’arrête pas de pleurer en cherchant sur internet.

    • Monique , y a-t-il dans les cressonnières picardes , des petites cabanes-cagibis pour « jardins ouvriers » ? En Suède, on les appelle des « koloni » . Il y avait deux grands terrains pour ces petits jardins , destinés aux gens d´appartement , mais un des deux a déjà disparu . Par manque de demandes sans doute. Mais en Belgique ,(je suis assidûment le JT belge ) , cela revient à la mode ; ils ont même un vif succès . On échange des graines , des légumes , on papote , on admire les lots voisins , on emmène les enfants , on confie son jardinet à un(e) ami/amie durant son absence . Bref , c´est bien organisé , et le cagibi sert autant de cabane à outils que de cabane de repos avec pause-café .

      • Oui Darie, mais il faudrait parler au passé, ici les cressonnières ont été achetées à la mort du propriétaire, et le nouveau a transformé le terrain en petit étang, à fait construire une petite baraque appelée « grand abri de jardin » car la construction d’une maison est interdite, ensuite derrière sa baraque il a son potager…. il habite le petit abri de jardin tout confort bien entendu, et ne paie pas d’impôt foncier et une taxe d’habitation très allégée. Les jardins ouvriers disparaissent au profit de constructions de pavillons, il n’en reste que quelques-uns avec une petite cabane pour trois outils. Les villages ont des « jardins-partagés », chacun amène ses graines, sa bouture et c’est un lieu de rencontres entre voisins sauf que les gens deviennent de plus en plus individualistes, ils viennent souvent de la banlieue ce n’est pas pour se retrouver dans la collectivité paysanne. Souvent le couple travaille et les WE ils travaillent dans leur jardin potager. Les poulaillers se multiplient avec les constructions. Le maire qui est un enfant du pays et toute sa famille tente de rassembler les habitants, organise des fêtes, on partage le pain, la soupe au potiron en automne, mais c’est toujours la même poignée qui suit, c’est-à-dire peu de monde. Ici, quand on sait que c’est le fn qui arrive en tête à toutes les élections, on comprend que le côté collectif et associatif ne remporte pas de grand succès.

  13. mes dames , j’ai passer une bonne après-midi dans ma chambrée , aucun esprit malveillant maniaco-dépressif et leur rire euphorique au regard du bipolaire sont venus me dérangeais pendant mon sommeil pour me faire entendre leur humeur dépressive et mélancolique , un ange archer aux ailes argentés d’un monde souterrain féerique peuplée de fées chevauchant des escargots rapide comme le vent de l’armée royale de perlimpinpin , ont enfermés tout les esprits maléfiques et fou a lier dans un cagibi étroit et profond de dessous l’escalier qui monte a la bibliothèque , tous ces esprits incorporelles de l’être humain vilain et laid comme des poux a la
    faculté mentale en dessous de zéro , vont pouvoir se taper une partie de belote ou si ils sont assez nombreux se montés deux équipes de football , de toute manière ce n’est pas mon affaire vu que j’étais occuper a dormir , et de ce que vont devenir ces esprits je m’en tamponne le coquillard , ce n’est pas une compagnie de pèlerin allumé bête comme des bourrin qui vont m’obliger par sécurité de prendre par précaution une assurance multirisque chez assurancetourix , je peux dormir des deux yeux , les anges m’ont affirmés qu’ils ne peuvent se faire la belle , car ils ont attaché la porte du cagibi avec du fil magique tresser surnaturellement par les elfes du père noël, je ratisse large cet après-midi , me voila dans le monde magique des enfants , pousse toi de la peter pan , tu vois pas que tu me gêne pour taper sur le clavier , et tu peux emmener avec toi nounours et son sac de poudre de roses des sables doré , je sais , je sais je suis et je reste un enfant a 85 ans , un enfant aurait pu faire ce que j’ai fais , pas un adulte aussi fort soit’il , j’ai quitter ma vie tout jeune en apportant aucune vivre ni autre sauf trois photos et mon livre fait par mon père , un livre animé en couleur , un vrai chef-d’œuvre que j’avais eu pour mon huitième anniversaire , le petit poucet , il en fallut des ruses d’indien , pour qu’ aucun instructeur de la légion étrangère en algérie ne tombe dessus ainsi qu’un autre légionnaire , nous avions était obliger de mettre dans le feu tout se qui nous rattaché a la vie d’avant ( sauf papier ) cela reste en bureau ( carton ou j’en sais rien a la maison mère de la légion étrangère , j’ai jamais vu cet endroit en algérie (interdit ) , il a voyager ce livre , il en a vu des pays , il en a écouter des pleurs , de nos jours dans sa vitrine , on peut lire en lettre d’or l’épitaphe , mon fils , si le petit poucet sème ces
    petits cailloux blancs qui le guiderons toute sa vie sur les sentiers féeriques. brillant entre le ciel et la terre des hommes ou ont peut laisser vivre les rêves de chacun….bon me voila nostalgique , mais je peux dire que ces cailloux l’ont emmener si loin …sauf a la maison …bises a demain …matin ..je vous l’avez déja dit que j’avais ce livre , je me répète comme tout vieux …c’est ainsi …GO!GO!

    • Klaus , c´est merveilleux pour vous d´avoir pu garder ce livre . De plus , il est beau et dédicacé , si j´ai bien compris . J´en suis aussi émue que vous .
      C´est dur de mettre au feu les souvenirs et les objets personnels auxquels on tient .
      On voit là que la Légion est un monde à part , qu´on ne comprend pas bien .
      Une bise de réconfort pour vous . Bonne soirée , et avant , bon appétit au mess .

  14. bonjour vous toutes ……………
    en ce début de grasse matinée ,l’ esprit enfantin qui me fait vivre me donne un épais sourire , j’aimerais me faire plaisir , vivre en plein rêve naissant de songe merveilleux , ouvrir la porte du cagibi magique , qui parfois la nuit je vois par le trou de serrure s’échapper une lumière enchantée cristalline saupoudré de poussière d’or et d’argent et de reste de nuage , qui me fait pensé a une douceur de naissance de peau de fesse de nouveau-né , il me fait envie moi l’enfant devenu homme , d’ouvrir le cagibi a fantasme pour enfant a l’esprit ouvert prêt pour l’aventure , l’ouvrir et entré dans ce monde magique ou vive ceux qui ont refuser de grandir , devenir homme dans l’apparence et avoir garder ses pensées d’enfant de rire et de cape d’épée toujours fin prêt a sauter tenant la cordée d’un galion pour la chasse au trésor, des pistoles , des écus d’argent , des louis d’or , des rubis et des diamants qui scintilleront au soleil , ouvrir la porte du cagibi pour rejoindre la lumière divine de pan le dieu grec de la nature , répondre a l’appel de la forêt , marcher et parler avec un champignon magicien , boire une collation chaud et deux biscuits doré avec une grenouille , une limasse et un bouquet de marguerites , en l’intérieur du cagibi je m’adresserais a l’esprit enfantin , pour vivre une aventure avec thomas fersen , le cochon , la vache , une libellule un ukulélé loin de la télé , redevenir a genoux l’enfant que j’étais ….voila ce que j’ai a dire sur le cagibi , il fait remonter a bibi ces rêves d’enfant afin de rester vivant …..bises ..GO!GO!

  15. Bonjour ! Klaus, comme Darie, je trouve magnifique l’histoire de ce livre animé: c’est un trésor inestimable.
    Je me rappelle avoir eu en cadeau une livre de ce genre ( qui est toujours là) :  » Boucle d’or et les trois ours »: les pages s’ouvraient sur des scènes découpées en profondeur ( les 3D de maintenant…).
    Voici « Les secrets du cagibi… » cf http://rosemar.over-blog.com/2015/09/les-secrets-du-cagibi.html
    « Le cagibi est un lieu particulier, un peu mystérieux et secret, dans une maison : on y stocke toutes sortes d’objets, de l’outillage, des cordes, des fils, des lampes.
    Le mot intrigue par ses sonorités étranges, sa voyelle « i » redondante, sa gutturale initiale tempérée par la chuintante « g » et la labiale « b », un capharnaüm de consonnes variées, aux effets divers.
    Le cagibi sombre, obscur suscite l’inquiétude, la curiosité, une envie de découvertes…

    Le cagibi de la maison de l’Estaque était un étroit couloir qui débouchait sur une excavation plus grande, il était situé sous l’unique escalier de l’habitation et il offrait sa part de mystères.

    Sur des étagères, étaient entassés des outils de bricolage, des objets mis au rebut, de vieux tableaux, des morceaux de tapisseries, des rouleaux de ficelles, tout un bric-à-brac hétéroclite.
    Le couloir minuscule ne laissait guère de place pour la circulation, il fallait se lover dans la pièce avec précaution, pour éviter les obstacles des étagères.
    La demi-obscurité qui régnait dans ce lieu, mal éclairé créait une vague inquiétude et contribuait, aussi, à l’étrangeté de ce réduit.
    Au fond, dans l’excavation, on pouvait admirer une ancienne machine à coudre, avec pédale, une de ces machines aux décors de bois somptueux, telles qu’on les fabriquait, autrefois.

    C’était le « clou » du cagibi, on pouvait s’asseoir, faire tourner le roue, écouter le bruit de la machine, s’essayer, même, à piquer quelques points.

    Cette vieille relique était une véritable oeuvre d’art : autrefois très utilisée, elle était devenue un objet de vénération, conservée par ma mère comme un souvenir du temps passé.
    Sur les bords, des tiroirs recélaient des aiguilles, du fil, des dés à coudre, des boutons de toutes les formes et de toutes les couleurs.
    Le bois marqueté permettait d’admirer des motifs géométriques, les tiroirs étaient ornés de ferrures ouvragées.

    Une singer ! Un luxe !

    Rien à voir avec les machines modernes d’aujourd’hui, laquées de blanc, électriques, sans socle, objets assez impersonnels.
    Les machines à coudre d’autrefois étaient de véritables meubles en bois, des objets décoratifs, pleins de charmes et de secrets…

    La roue, la pédale faisaient de cet engin un objet mystérieux et fascinant, même si dans les derniers temps, la machine ne fonctionnait plus vraiment, on pouvait en admirer tous les détails.
    Le métal de la machine était, aussi, orné de motifs étranges, de ramages ondoyants, de feuillages dorés.

    A côté, sur le sol, était posée une boîte à couture en bois qui se dépliait et laissait découvrir d’autres trésors….

    Une boîte en acajou vernis qui contenait, aussi, des rubans, des boutons-pressions, des épingles à nourrice, des fils de cotons, de la laine.

    Le cagibi recélait toutes sortes d’objets, mais le plus intriguant, le plus attirant, le plus mystérieux était cette machine à coudre qui ressemblait à un meuble antique ouvragé…

    Placée au fin fond du cagibi, la machine à coudre était un objet de curiosité et d’admiration, elle fascinait par ses dimensions, ses pouvoirs, sa grâce. »

    • Bravo Mareria , et bonjour , c´est amusant de lire cela .
      Dans l´hôtel près de Hambourg, où nous sommes passés , il y avait un meuble-machine à coudre , en marqueterie . La carte à puce ne fonctionnait pas pour la chambre , il a fallu poireauter une petite heure pour avoir de l´aide.
      J´en avais profité ( après avoir pesté copieusement sur cette maudite carte à puce … ) pour regarder les meubles dans le corridor . C´était une Singer bien sûr , la grande marque des débuts de la machine à coudre. Les meubles du couloir , en décoration , avaient un côté désuet très marrant . Ma mauvaise humeur était vite passée .
      Par contre , le papier peint vieillot était une horreur : ))

  16. Bonjour Klaus toujours à l´heure du chant du coq , et tous .
    Il n´y a pas que des trésors dans les cagibis , il y a aussi de vraies vieilleries pour les
    vides-greniers . Le plus grand vide-grenier est la Braderie de Lille , premier week-end de septembre . On attend cette année deux millions de personnes …
    Quand j´étais toute jeune , nous y allions , ma mère , ma sœur et moi . Maintenant , cela doit être une gageure d´y emmener des enfants . Ma brocante en ville est ouverte toute l´année.
    En y allant régulièrement, on trouve… un jour… , une chose intéressante , comme mes trois beaux miroirs en pied , et un petit que j´ai laqué en rouge cramoisi . Magnifique!
    Et un ciré et bien astiqué , il brille ; un autre peint en blanc ; et un dernier que fils va peindre .
    Nous réfléchissons à la teinte . Bleu marine sans doute .
    Hier , j´ai raté un beau plat d´étain , pour 300kr(30€) ! Les employé(e)s ne connaissent pas le prix des objets parfois . Une vieille chaise coûterait le même prix .
    Bonne chance chez Dédé-la-brocante ; j´aimais bien cette émission avec Julienne Bertraux,
    « Tous à la brocante » ; à la fin , un expert en antiquités évaluait un objet avec des explications intéressantes , parfois historiques. Ya plus : (( , une émission de moins encore …
    Bonne journée , soleil froid , mais soleil quand même .

  17. mes dames , tout ce qui touche son enfance est nous rattaches au cocon familiale est un véritable trésor pour notre coeur et l’esprit , de nos jours il m’arrive de l’ouvrir , il s’anime encore malgré son âge , mon père était un véritable artiste , il avait des mains en or , il était le meilleur pour redonner vie aux livres , de la reliure et dorure , certain livres avait les pages tenus par des fils blanc ou fil d’or ou d’argent , mon père était un amoureux des livres et de toute poésie , il avait un
    respect profond pour les ouvrages de n’importe qu’elle nature , il disait tout livre a son histoire , il
    pomponner toute se librairie , parfois je sent encore les odeurs de son atelier de réparation et son atelier d’imprimerie , comme j’ai écrit plus haut , je fais très attention a ce livre , seul la factrice et le gras du bide mon pote le cureton a eu l’honneur de le lire et surtout le toucher , j’ai pris ce livre comme deux ou trois photos de moi et une de mes parents jeune , environ 17 ans je pense allonger sur l’herbe , il était beau , il me manque , a 85 ans , et une vie tumultueuse de vague a l’âme., il me manque chaque jour naissant , pas une minute je ne pense pas a eux , cela me rend triste j’avoue , mais la vie est ainsi faite , j’ai la photo de mes parents devant moi sur la table , je la touche toujours et je leur fait le bisous , un légionnaire sentimentale , non , un enfant qui aime ses parents ainsi que sa famille , un homme simplement humain , j’ai rien pris d’autre , je savais pas vraiment mon parcoure , j’ai marcher et marcher traverser l’allemagne , la france , arrivé a marseille , le bout de la fin , la méditerranée , les bateaux , après tout c’est emboîter a une vitesse vertigineuse , j’étais sans but , la trouvaille des arsouilles suèdoise et autres , qui fuyait vite fait leur pays , aller s’engager dans la légion étrangère et partir pour l’algérie , la suite vous la connaissez , j’avais pas l »âge pour m’engager , il fallait avoir 17 ans , le sergent-chef ‘incorporateur, un vieux soldat brisé par les combats , parlant pas bien le français , me dit tu fera un bon légionnaire , tu est grand et très costaud , je t’envoie petit ou ont meurt , il avait raison ce légionnaire sauf qu’il c’est tromper , j’en suis revenus au bout de 17 années de vie difficile et combat acharné , je regrette rien de nos jours , j’ai de l’amour aussi fort ce matin que dans les années 1950 quand j’ai dit a maman , je revient de suite dans 10 minutes pour souper , j’ai toucher sa joue , elle a amis ma chemise blanche droite pour que je sois le plus beau de berlin , je l’ai plus jamais revu mais j’ai son odeur qui parfume mon existence et éclaire mes nuits ….voila …..bises a vous …GO!GO!

    • Votre mère a veillé sans doute veillé sur vous , Klaus . L´inquiétude de ne pas vous voir les semaines et mois qui suivaient , lui a certainement inspirée des prières . Les hommes sont moins porté sur les prières , mais votre père a dû aussi pensé à vous énormément , en vous confiant au Ciel . Ma mère a fait cela (c´est son expression , « confier au Ciel ») , et j´ai toujours réussi à traverser les dangers en voyageant toute seule très loin . C´est après une grosse frayeur que je m´en suis rendue compte . Ce serait même malhonnête de ma part de le nier.
      Vous avez lu ce que j´ai écrit avant-hier ? J´ai vu le film « Nous étions des soldats » , et j´ai tremblé de frousse tout le film , en pensant à vous . C´était la guerre du Viet-Nam , vous y étiez avant , quand on disait « l´Indochine » , mais c´était au même endroit , et c´était tout aussi terrible.
      Cela ne vous a pas rendu fada , mais la Provence , peut-être que oui ? Taquinerie du jeudi : ))
      Bonne journée , pensez à de jolies choses , vous en êtes entouré en Provence .

    • Bonjour papy, je ne suis pas un conseilleur, encore moins un juge ni un moeraliste, je crois que l’homme est libre et il fait ce qu’il veut ou ce qu’il peut de sa vie…. mais je ne serais jamais partie en laissant mes parents sans leur donner la moindre nouvelle, j’aurais donné de temps en temps un tout petit signe de vie rien que pour les rassurer, même sans les revoir si on ne le veut pas, chacun a ses raisons
      Je pense que tes parents ont su ce que tu étais devenu, avec des recherches, mais ils ont respecté ton silence, des parents cherchent toujours un enfant perdu. Tu as encore de la famille, alors j’enverrais une jolie carte postale de la Légion en leur disant que tu penses à eux et que tu es heureux comme ça. Si on « s’en remet au ciel », j’ai remarqué qu’il ne répond jamais, tu vois , pour une croyante, je suis plutôt du style rebelle, mais il faut aider le ciel pour qu’il nous fasse un petit signe. Il faut choisir entre les remords et les regrets et je pense que ce sont les regrets qui font le plus mal mais c’est très personnel à chacun. Voilà, c’était la minute philosophique d’un jour de blues…soigne-toi bien papy et bise.

  18. Hello la compagnie, ce matin j’avais plein de choses à faire, comme tout le monde, mon cagibi est vide mais heureusement Mareria est là pour le remplir de belles choses. Les brocantes battent leur plein, jusqu’à fin octobre, c’est toute l’année que l’on vide les greniers, il y a des affaires à faire et ensuite on rénove avec de l’huile de bras, à condition d’aimer cela. J’arrive à une partie de la vie où l’on se défait des choses, j’ai entassé tant d’objets inutiles avec « ça peut toujours servir », que j’appelle Emmaüs de temps en temps…. mon plus grand chagrin, c’est la tonne de livres que j’ai donnée car aujourd’hui, j’ai toujours envie de relire un titre, un auteur, qui est parti depuis longtemps sur d’autres étagères… certains ne sont même plus réédités ! ça ne fait rien, ça peut en aider d’autres. Darie, j’espère qu’il n’y aura pas d’incident à cette grande braderie de Lille, je pense que ce sera très surveillé car nous avons ces jours derniers pas mal de déséquilibrés qui foncent en voiture sur la foule ou qui poignardent des femmes et ne se souviennent plus de rien…. surtout, c’est fou ce qu’il y a comme avocats amnésiques. Bonne journée à tous, après la pluie le beau temps, il fait frais mais cet AM ce sera le nirvana.

  19. J´ai trouvé une belle chanson , sur le « Temps qui passe » avec la parfaite video pour
    l´accompagner . Les manifestations à cette époque avaient un côté bon enfant , complètement révolu désormais : ((

  20. mes dames , une mesure demeure de nos jours , ou les nouveaux propriétaire de maison neuve , quand ils en ont nul besoin , leur fantôme , leur gnome hargneux, leur mort-vivant , leur fée noir , mais surtout tout leur petit foutoir , leur fourbi , de la caisse de dépannage qui ne sert jamais a la lampe a pétrole sans mèche ,vu que les maisons neuves , moderne , ne dispose plus de cagibi , ou alors faut un demandais un sur mesure sous la paillasse de l’escalier qui monte a l’étage supérieure , il faut dèja se faire construire une maison a étages , car par mesure d’économie et de moyen , la maison plain pied est moins onéreuse et souvent vendu clé en main avec le garage , je suis pas propriétaire non plus utilisateur d’une maison en location , mais je regarde sans exception stéphane plaza ( la je rigole , il me sort par le trou de nez , ) a la télé deux choses me fait la chouille , les émissions de ce plaza et le petit ange mimi mathy , je zappe , sinon je deviens fou , bon donc les maisons neuve , aucun cagibi , ni de cave ni de grenier , au plafond du couloir , une trappe pour changer le moteur a quatre pattes de la VMC , bon je vais aller lire un livre , sur les fleuves du monde , histoire de rester eau hi!hi! courant ….après une douche , un petit repos de 20 minutes , le foyer puis attendre le repas du soir , a 20 h 50 je serais au lit ……je dors dans ma chambrée ( la canicule n’est plus présente ) ……mes lutins ont froid la nuit …..bises …GO!GO!

    • Klaus , vous n´aimez pas Mimie Mathy , pourtant un ange gardien ? Je la trouve amusante , mais je ne la vois pas souvent . C´est vrai que vous possédez au moins dix chaines de TV , et moi , une seule . Elle ne vous convient pas pour danser le tango . Vous êtes beaucoup trop grand pour elle , et vos pieds géants ne lui écraseraient pas seulement les doigts de pied , mais les deux pieds en même temps ! Et puis…, vous pesez un bon quintal de muscles : )
      Je vais aussi poursuivre mon livre, sur Haïti ,(Danser les ombres , L.Gaudé) , il est passionnant. Je me souviens bien de ces horribles tontons macoute qui semaient la terreur . C´est incroyable qu´on n´ait pas pu empêcher ça !

  21. Grâce à la maquilleuse de jupiter, c’est le fou rire sur le forum, maud est relaxe mais je ne sais pas jusqu’à quel point on va pouvoir faire de l’humour, parfois très noir..
    Darie, avec les Duvalier, nous les connaissons bien ces tontons là ! quelle vie de luxe, ils ont dilapidé des milliards volés au misérable peuple. Ils n’ont pas vécu dans des cagibis ! il y en a combien dans le monde de ces tontons ? l Roger Riou (délinquant avant de devenir prêtre)a passé trente ans à Haïti et dans l’ile de la Tortue, son livre « Adieu la Tortue » (1976) est remarquable et passionnant, on peut le trouver à moins de 3 euros, dans la collection de poche.

    • Monique , mon frère est outré aussi . C´est vrai que certains internautes ont un humour décoiffant , même si cela fait mal aux cheveux ! Et Brigitte en prend même pour sa pomme , alors qu´elle n´est pas concernée , hi-hi .
      Je vais essayer de trouver ce livre un jour . Il faut que je note les noms , sinon je les oublie !
      Ces Duvalier incarnaient vraiment la détestation ! La femme du père Duvalier avait fait installer la climatisation dans son palais pour pouvoir mettre ses fourrures … Et le peuple souffrait mille maux ! Je m´en souviens très bien . Et ce gros baby Doc a laissé des ardoises partout où il passait en France . Les hôteliers étaient tenus de ne pas se plaindre !…Ordre supérieur …. Bonne soirée , à tous .

      • Darie, j’ai donné ce livre avec d’autres à Emmaüs sinon je vous l’aurais envoyé de bon cœur. Les Duvalier des gens odieux,, des despotes et des tyrans et en passant un peu barbares . La France avait mis ses biens sous séquestres, la famille s’était réfugiée à Grasse et la France avait accueilli ces gens-là, quel tollé à l’époque, quelle colère. Bonne fin de soirée

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